Amylie en met plein les oreilles -- Album le 11 nov 08
C’est l’un des secrets les mieux gardés de la scène musicale québécoise. Avec «Mes oreilles», Amylie donne enfin un aperçu de ce que sera l’étonnant premier album éponyme à paraître le 11 novembre prochain. Bribes de vie portées par une langue vive et colorée, voix souple et infiniment soul: voilà une jeune artiste qui fait danser follement les mots et les sons.
Celle dont l’enfance a été bercée par la musique a décidément le rythme dans la peau. Ici, Amylie croque une dispute entre deux amoureux, montrant, dans ce mélange d’espièglerie et de gravité dont elle a le secret, que les mots hurlés ne trouvent pas leur cible…
Tu cries et tu cries Mais moi je ne t’entends pas Je n’entends qu’un bruit blanc Qui sort de toi
Quelques mesures suffisent à ouvrir grand nos oreilles, dans l’attente de cet album qui fera vibrer le cœur autant que le corps, et dont la réalisation signée JF Lemieux se révèle à la fois accomplie et un brin désinvolte, écrin parfait pour une langue libre comme l’air.
Amylie: l’un des plus beaux rendez-vous de l’automne 2008…
Caracol, moitié de dobacaracol, nous présente le premier extrait de son album solo. Le mépris se veut une pièce charmante à la mélodie accrochante. Plusieurs se suprendront à fredonner le refrain. Pièce parfaite pour la rentrée et la transition entre l'été et l'hiver. Pièce rassembleuse où tout le monde se retrouve, Le mépris marque aussi le début de la carrière solo d'une artiste à redécouvrir.
14 Nov 2008 20:00 La Chasse-Galerie Lavaltrie, Quebec 22 Nov 2008 20:00 L’Azile Joliette, Quebec
Le nouveau projet musical de Caracol est, avant tout, axé sur l'écriture de chansons gorgées d'émotion brute. Son premier album solo, L’ARBRE AUX PARFUMS, se situe au croisement de la chanson, des musiques « folk » américaines, du son « vintage » 1950, et du vieux « Rocksteady ». De facture plus « Indie-pop », cet album a été grandement influencé par la découverte du ukulélé (instrument hawaïen à 4 cordes) et de l'autoharpe (instrument folk doté de 36 cordes) et par un retour aux sources: une bonne vieille guitare! Principalement écrits en français, quelques fois en anglais, les textes explorent les coins d'ombres de l'âme, le cortège des émotions, la subtilité des relations humaines, les paradoxes, le doute, l'amour, la colère, le mépris, l'arrogance et la recherche d'absolu. La démarche est profondément honnête. Carole n'a pas hésité, à travers ses paroles parfois crues, à révéler des vérités plutôt troublantes. Sérieux mais pas trop, souvent sarcastique, jamais tragique, L’ARBRE AUX PARFUMS, dont chaque chanson est une page, se veut évocateur d'une multitude de facettes humaines. Par moments, les chansons sont imprégnées d'imagerie surréaliste inspirée de films tels que “Oh Brother Where Art Thou?”. D'autres fois, elles évoquent la salle de bal hawaîenne ou les disques vinyles d'une autre époque. Souvent minimaliste pour ne pas diluer le propos, le nouvel univers de Caracol oscille entre force et fragilité, fierté et humilité, douceur et intensité. Armée de l'expérience acquise en tournée avec la formation DobaCaracol (425 concerts dans 16 pays, un disque d’or, plus de 100 000 albums vendus et récipiendaire du FÉLIX de l’album musique du monde en 2005), Caracol, dotée d'une plus grande maturité, a désormais l'impression de s'être retrouvée. Par sa démarche personnelle et introspective. L’ARBRE AUX PARFUMS est un album qui lui ressemble, sans compromis. Pour la production de l'album, elle s'est entourée d'exceptionnels amis-musiciens: Sébastien Blais-Montpetit à la réalisation (Champion et ses G-Strings,), Maxime Lepage à la basse (DobaCaracol), Justin Allard à la batterie (Daniel Bélanger), François Lafontaine (Karkwa), Vincent Réhell (Stefie Shock), et Sandy Belfort (Pawa Up First) aux claviers, ainsi que David Laflèche à la guitare. C’est avec plusieurs de ces musiciens que Caracol partira en tournée dès novembre 2008.
LES SAISONS S'TASSENT ET KAÏN A FINI DE JOUER À L'HOMME-GRENOUILLE
L’homme-grenouille est le nouvel extrait de l’album Les saisons s’tassent Il y a des chansons qui restent, d’autres qui passent. Les chansons qui restent sont habituellement celles que l’auditeur s’approprie à la première écoute. L’homme-grenouille est l’une de celles-là. Elle a commencé à vivre durant la tournée Nulle part ailleurs. La réaction de la foule l’a rendue inédite sur le DVD « On dormira demain » (novembre 2006) et la demande a été si forte que L’homme-grenouille devait aussi avoir sa place sur le disque Les saisons s’tassent (septembre 2007). C’est maintenant en radio que L’homme-grenouille habitera. Encore une fois, les paroles de Steve Veilleux feront partie du quotidien de vos auditeurs. Un univers qui leur permettra de se reconnaître et de rêver. ________________________________________ Fin de la tournée ! L’automne 2008 marquera le début de la fin des spectacles Les saisons s’tassent. Le groupe termine sa tournée en présentant les dernières supplémentaires dans les salles du Québec. Pour le public de Québec, la dernière chance de voir ou revoir Kaïn sera le 7 novembre 2008 au Théâtre du Capitole et pour celui de Montréal ce sera la semaine suivante, le 15 novembre 2008 au Métropolis. Le moins qu’on puisse dire est que Kaïn n’a pas eu le temps de se laisser désirer depuis ses débuts. À l’automne 2003, l’onde de choc est provoquée par l’effet Kaïn en inondant les ondes radio avec son premier succès Parle-moi d’toi. Cinq ans plus tard, nous pouvons observer les nombreuses réalisations du groupe qui n’a jamais cessé de parcourir le Québec. Il a présenté durant ces années plus de 350 spectacles, a été en nomination pour 10 Félix, a remporté celui du groupe de l’année en 2006 à l’ADISQ. Le groupe a sorti 3 disques et un DVD : Pop Culture en 2004, Nulle part ailleurs en 2005, On dormira demain (DVD) en 2006 et Les saisons s’tassent en 2007 qui se sont vendus à plus de 300 000 copies.
14 OCTOBRE : Terrebonneà la Salle Desjardins 19 NOVEMBRE : Joliette à la Salle Rolland-Brunelle
À peine l’été nous réchauffe-t-il un peu que l’automne prend sa place. Mathieu GAUDET a choisi de représenter l’interminable guerre des saisons, qui passe du vert au jaune, du jaune au rouge et du rouge au gris sans préavis, par une chanson au sujet aujourd’hui trop fréquent, qui fait voyager les amoureux par cette même gamme de couleurs...
À la suite de ses succès radio Perdu pied et Ou la la, Richard Petit propose Va savoir, un nouvel extrait tiré de son nouvel album YUL. Va savoir est un puissant extrait où les violons, les guitares acoustiques et électriques s’harmonisent merveilleusement avec la voix de l’auteur-compositeur-interprète. Le rythme et les arrangements musicaux sont étonnants. Ils éblouissent à la première écoute!
Divine Brown était de passage à Montréal cette semaine. La chanteuse canadienne, qui se produira le mois prochain dans la métropole – la date devrait être fixée sous peu – faisait la promotion de son deuxième album, The Love Chronicles, qui fait déjà bonne figure dans les palmarès de vente.
Pour ce CD, la Toron¬toise s’est inspirée de l’histoire du R’n’B . Elle a écrit et coécrit 12 pièces aux styles différents, ayant tantôt une saveur gospel, soul ou funk, et nous offre un véritable voyage dans le temps. Stevie Wonder, Anita Baker, Tina Turner, Whitney Houston et même Mariah Carey font partie de l’univers musical de Divine Brown.
Cependant, c’est vraiment en écoutant de la musique de Chaka Khan que la jeune femme a trouvé sa voix et sa voie étant petite.
«Vocalement, c’est Kahn qui m’a inspirée le plus, avoue-t-elle. Pas seulement parce que c’est une chanteuse à la voix puissante, mais parce que, quand elle chante, c’est comme si elle avait du feu à l’intérieur d’elle. C’est vraiment ce que j’aime de sa voix. Cela la différencie des autres chanteuses qui m’ont inspirée.»
La voix de Divine Brown est d’ailleurs ce qui frappe le plus à l’écoute de The Love Chronicles. Elle passe d’une octave à l’autre, pouvant ainsi exploiter différents styles sans problème.
Souvenirs musicaux Mais attention, si Divine Brown s’est inspirée des grands de la musique soul, elle ne les a pas copiés. Elle s’est seulement laissé guider par eux.
«L’inspiration est quelque chose dont les artistes ont besoin, affirme-t-elle. Par exemple, si je n’ai jamais écouté de musique soul, quelles références j’ai et comment je vais apprendre? Il y a une énorme différence entre être inspiré et faire du plagiat. Quand j’écrivais ce CD, mon écriture était basée sur des souvenirs que j’avais quand, petite, j’écoutais ce genre de musique et sur les émotions que ça engendrait. Je ne me disais pas : je vais écrire une chanson sur les années 1960. Je ne mettais pas un disque de la musique de l’époque et je ne me disais pas : “OK, je sais ce que je vais écrire.”»
Les émotions et la sensibilité sont plutôt au cœur du cheminement créatif de cette artiste qui est convaincue que le R’n’B n’a pas dit son dernier mot et qu’il peut encore se réinventer.
«Je pense que le R’n’B grandit constamment, dit celle qui avait présenté son premier album éponyme en 2005. Tout dépend des artistes et des choix des maisons de disques. Je pense que la musique en général est en constante évolution. Par exemple, Kanye West est quelqu’un qui fait du hip hop soul. Il y a des saveurs R’n’B dans sa musique, du soul, et il est très innovateur dans ce qu’il fait. Il a son propre son.»
Voilà un autre artiste américain parmi les inspirations de Divine Brown, qui le dit : l’histoire du soul est avant tout américaine. Cependant, tout cela pourrait changer avec l’apparition d’artistes canadiennes comme elle ou July Black, qui reçoivent un bel accueil partout au pays.
«J’obtiens la même ré¬ponse dans toutes les provinces, souligne-t-elle. Si les gens donnent une chance à l’album, ils vont trouver quelque chose qu’ils aiment. En général, les Canadiens aiment le R’n’B. Ils apprécient la bonne musique et l’encouragent.»
Ici, donc, l’opération sé¬duction a fonctionné, mais de l’autre côté de la frontière, tout reste à bâtir. Divine Brown devra faire face à des concurrents et à des concurrentes de taille. The Love Chronicles sortira partout dans le monde dans un an. D’ici là, Divine Brown continuera de se tailler une place sur la petite planète soul.
«De nos jours, il y a tellement de talents, partout sur la planète, qu’il faut que tu fasses ta marque, explique la combattante. Tu ne sais jamais comment tu vas te rendre là, qu’est-ce que ça prend pour arriver là. Tout ce que tu peux faire, c’est faire de ton mieux.»
Plus de détail sur le blog : M1035.blogspot.com Le premier album en anglais de Nicola Ciccone sortira ce mardi. Sur ce disque intitulé "Storyteller", l'auteur-compositeur-interprète québécois livre 13 titres dont 10 compositions originales en anglais. Il chante notamment en italien sur deux pièces, Bambolina et Novembre.
Depuis quelques mois, le public pouvait entendre un premier extrait de l'album, Little Girl, qui a aussi fait l'objet d'un vidéoclip. Un deuxième extrait, Ordinary Man, vient de sortir.
Nicola Ciccone a vendu à ce jour des centaines de milliers d'exemplaires de ses précédents albums en français: L'Opéra du mendiant, Noctambule, J't'aime tout court et Nous serons six milliards.
Pour visionner le clip Little Girl, cliquez ici: http://www.youtube.com/watch?v=7vc-Vz4iqH4
GALA DE L’ADISQ 2008 Nicola Ciccone en nomination dans 2 catégories: - Interprète masculin de l’année - Chanson pour Marie, chanson populaire de l’année
Grosse Boîte est fière de présenter le premier album de Cœur de pirate. Découvrez l’univers intimiste de cette jeune pianiste à la voix angélique et aux mélodies accrocheuses sur cet album éponyme, qui sera en magasin dès le 16 septembre prochain. Ce premier opus de la jeune auteure-compositrice-interprète de 18 ans, co-réalisé et co-arrangé avec David Brunet (Tricot machine, Daniel Boucher, etc.), propose des textes d’une implacable sincérité qui sauront charmer le public comme en témoigne la pièce « Comme des enfants », le premier extrait, déjà en rotation sur les ondes FM.
Montréal, le 6 août 2008 - L’auteur-compositeur-interprète Mathieu Provençal lance aujourd’hui un deuxième extrait radio intitulé Ton refrain. Issue de son nouvel album à paraître le 25 septembre prochain, cette pièce qui allie un texte vibrant de sincérité et une musique accrocheuse saura certainement plaire à un vaste public. Après avoir participé à un prestigieux numéro destiné au 400e de la ville de Québec lors du dernier Calgary Stampede et trimbalé son nouveau matériel dans différents événements au cours de l’été, c’est avec une impatience à peine contenue que Mathieu prépare son grand retour. Avec ses complices, François Séguin et Marc-Antoine Olivier il travaille donc à mettre la touche finale à ce deuxième opus et c’est le 25 septembre prochain qu’il pourra enfin vous présenter le fruit de son travail. Un rendez-vous à ne pas manquer !
NOUVEL ALBUM EN MAGASIN DÈS LE 23 SEPTEMBRE POUR AVOIR LA CHANCE D’ASSISTER AU LANCEMENT LE 25 SEPTEMBRE OU POUR ÉCOUTER L’EXTRAIT VISITEZ LE WWW.MYSPACE.COM/MATHIEUPROVENCAL
Établi à Montréal… pour travailler par Philippe Rezzonico Journal de Montréal 23-09-2007 | 05h00
Un nouveau disque, un spectacle en octobre, des cours de français et pas moins de deux albums en chantier: le retour de David Usher à Montréal ne rime nullement avec farniente. Retour à Montréal? Vraiment? Quand on lui fait remarquer durant notre conversation au bout du fil que notre afficheur indique l’indicatif 416 (code régional du centre-ville de Toronto), Usher nous livre une savoureuse réplique. «C’est parce que je suis trop paresseux, dit il Je suis de retour à Montréal depuis deux semaines, mais j’ai encore mon cellulaire avec un indicatif de Toronto.» –Mais ne venez-vous pas de vivre durant trois ans à New York? «Oui, mais j’avais toujours gardé mon numéro de cellulaire de Toronto.» L’histoire du mystérieux indicatif étant éclaircie, Usher nous explique que Montréal lui manquait. «Les étés sont torrides à New York. Au printemps, nous sommes revenus passer une semaine à Montréal avec ma famille et il faisait tellement beau que ça n’a pas pris cinq minutes avant de décider qu’on voulait revenir ici.» Né en Angleterre d’une mère thaïlandaise et d’un père montréalais, Usher a pris une décision impulsive, le premier extrait (The Music) de son disque (Strange Birds) paru au printemps contenant une référence directe à New York. «La chanson a été écrite bien avant la réalisation de l’album, mais c’est vrai qu’on a pris la décision de venir il n’y a pas longtemps.»
UNE FOULE DE PROJETS Ce disque est encore tout chaud qu’Usher a des projets plein la tête. Révélé comme chanteur de Moist avec l’album Silver, en 1994, Usher a lancé cinq albums solos depuis Little Stories, en 1998. «Je ne sais pas si les gens peuvent en prendre tant que ça (rires),mais il pourrait y avoir un disque de nouveau matériel en septembre 2008 et un disque acoustique bien avant ça, en mai 2008, quoi que pas à diffusion élargie.» Dans les faits, Usher s’apprête à lancer son disque acoustique par l’entremise de son site Web. «Il y a deux façons de voir les choses de nos jours: ou tu n’utilises pas la technologie – et l’avenir peut être effrayant –, ou tu t’en sers pour le mieux. J’aime bien diffuser plein de choses dans mon site Web, histoire de montrer le processus de création de mes chansons. Et l’interaction va dans les deux sens. «Pour la tournée qui s’en vient, les fans m’ont envoyé des demandes de chansons que je n’ai pas jouées depuis une éternité. Je ne vais pas pouvoir toutes les faire, mais ça m’a fait réaliser que j’avais du matériel à revendre avec cinq disques.» Donc, après Led Zeppelin, The Police et Genesis, on ne reforme pas Moist, monsieur Usher? «Je ne dis jamais non, mais il n’y a rien à l’agenda à ce sujet.»
Le trio The Lost Fingers prépare l'enregistrement d'un album de duos en français avec de grandes vedettes du Québec. Le gérant et producteur du groupe de Québec, Richard Samson, a confié que la sortie du disque était prévue pour février 2009. Il n'était toutefois pas en mesure de révéler les artistes qu'on pourra y entendre.
Le répertoire sera interprété à la saveur jazz manouche, tout comme sur le premier disque Lost in the 80's, sorti cette année.
Au cours des prochains mois, on pourra voir et entendre The Lost Fingers dans de nombreuses salles du Québec.
11 Oct 2008 20:00 L’Envol Joliette, Quebec
24 Jan 2009 20:30 Salle des Jardins Terrebonne, Quebec
Depuis la sortie de son premier album en 1980, Bryan Adams est considéré partout dans le monde comme l'un des artistes canadiens les plus populaires, et a enchaîné les tubes aux US et en Europe. C'est avec le titre "(Everything I Do) I Do It For You" (B.O. du film Robin des Bois avec Kevin Costner) qu'il prend la première places des charts, avec le record jamais inégalé de 16 semaines n°1 en Angleterre. Bryan Adams a vendu plus de 50 millions d'albums.
Son personnage s'est enrichi au gré des collaborations avec Bob Clearmountain, Vallance, Tina Turner, Mutt Lange, les Pink Floyd (avec lesquels il a participé à la performance exceptionnelle de The Wall à Berlin en 1990), Sting… A l'occasion de la sortie de son 11e album, Bryan Adams entame une tournée exceptionnelle en Europe.
Les deux nouvelles chansons de la prochaine compilation de Sarah McLachlan, U Want Me 2 et Don't Give Up on Us, témoignent d’expériences très personnelles. «Je suis en instance de séparation, et c’est le sujet de ces chansons», a mentionné McLachlan à Billboard.com. Elle est mariée à Ashwin Sood, le batteur de son groupe, depuis 11 ans. Le couple de Vancouver a deux filles, India, âgée de six ans, et Taja Summer, 14 mois. «Je n’avais pas prévu en parler, ajoute McLachlan, mais la nouvelle aurait fini par circuler. Je me suis tue parce que j’étais terrifiée. Mais comme je savais qu’il n’existait pas de moment idéal pour annoncer ce genre de chose, je l’ai fait, tout simplement.» McLachlan a qualifié la situation comme étant «assez déplaisante», mais n’a pas précisé les motifs de leur séparation, ni révélé les intentions du couple concernant leur avenir. Le public pourra entendre les deux nouvelles chansons dès le 7 octobre, en se procurant le CD Closer: The Best of Sarah McLachlan, ou le coffret de luxe de deux CD. Amazon.com a diffusé pour la première fois le vidéoclip de U Want Me 2 tout récemment. McLachlan a écrit ces pièces en collaboration avec son fidèle réalisateur Pierre Marchand. Dans U Want Me 2, elle décrit cet état déroutant d’incertitude, qui marque la fin d’une relation, ce lieu duquel la communication a disparu, où rien n’est résolu et tout est en suspens, et où la colère et la tristesse sont omniprésentes. C’est une période où on tente de comprendre «comment passer à autre chose... tout en conservant un minimum de dignité et d’élégance.» «Le titre de la chanson Don't Give Up (n’abandonne pas), résume bien son message, dit-elle, un plaidoyer pour une seconde chance, encourageant la persévérance.» McLachlan prévoit rendre visite à diverses émissions de télévision pour faire la promotion de Closer. Elle a aussi mentionné qu’elle travaille déjà à la composition de nouvelles chansons, et qu’elle espère sortir un nouvel album au cours des deux prochaines années.
Martin Deschamps, le rocker au cœur tendre nous propose cet automne un 6e album intitulé Le piano et la voix, un projet unique dont les treize chansons, interprétées dans leur plus simple appareil, font ressortir toute la personnalité de l'artiste. Ce projet en surprendra plusieurs par son caractère très intimiste; En effet, le chanteur à la voix chaude, rauque et si évocatrice lève enfin le voile sur un côté plus tendre de sa personnalité. Pour ce faire, Martin a fait appel à plusieurs pianistes de chez nous, tels que Vic Vogel, Paul Baillargeon, Daniel Lavoie, Claude "Mégo" Lemay et Lorraine Desmarais, pour ne nommer que ceux-là. Cet album, incluant plusieurs chansons inédites réalisées par le réputé Guy Tourville, en fait l'un des projets musicaux les plus originaux et inattendus de la saison.
Jipé Dalpé - Dans l'Azur Dans l'Azur témoigne de l'urgence de vivre sans compromis, de jouer le tout pour le tout quand le temps joue contre nous. L'azur est un refuge, une zone de lumière qui brille dans l'ombre. Dès les premières notes, la voix chaude et charismatique de Jipé Dalpé nous transporte dans cette danse ultime où les images défilent au rythme des stroboscopes.
Le premier album de l'auteur-compositeur-interprète québécois Jipé Dalpé sort ce mardi. Il a pour titre "Les Préliminaires". Le public a déjà pu se familiariser au cours de l'été avec son premier extrait , "Dans l'azur", qui témoignait de l'urgence de vivre sans compromis. Jean-Philippe Dalpé, qui a accompagné bon nombre d'artistes au Québec et en Europe par le passé, signe les textes et les musiques de l'album, en plus d'avoir participé aux arrangements, à la réalisation et à la production. Il a toutefois confié à Eloi Painchaud la réalisation de ce premier album. Au cours des prochains jours, le chanteur et musicien fera la promotion de son disque dans plusieurs villes du Québec.
Jipé Dalpé passe à l’acte Jean-Philippe Dalpé n’est pas du genre à vous pousser sur le matelas le premier soir. Quand il veut vous entortiller, il y met le temps et l’effort. Ça aura pris au musicien une dizaine d’années de séduction et de becs sur le front avant de passer à l’étape logique suivante. L’album. Après avoir réussi à cruiser les bonnes personnes, après s’être bichonné, il ne pourrait pas être plus prêt à sortir le grand jeu au Québec en entier.
Ce CD s’appelle Les préliminaires. Ironique quand ça fait aussi longtemps que le gars attend au pied du lit pour passer à l’acte. Il y a des romantiques...
«Comme en amour, il y a bien du démarchage à faire en musique avant que ça débloque. C’est une aventure de séduction aussi passionnante. C’est vrai que j’ai zigonné pas mal. J’aimais ce titre pour la mise à nu qu’il propose et pour la suite qu’il annonce. Même si ce disque représente un aboutissement, à mes yeux, il n’est que le début de ce que je vois plus grand.»
Il y a un bail que les présentations avec les Sherbrookois ont été faites. La glace a été cassée quand il avait 15 ans et qu’il poussait du Leloup, des Colocs et du Red Hot Chili Peppers dans les bars qui ne cartaient pas. Fait donc longtemps que ceux qui avaient été charmés par ce brunet au sourcil percé attendaient qu’il remise les chandelles pour de bon et passe aux choses sérieuses.
«J’essayais que ça marche, mais, dans le fond, pas tant que ça. Je crois que je me suis longtemps autosaboté. Je n’arrivais pas à clarifier mon projet artistique; il y avait trop de jouets dans mon terrain de jeu. Aussitôt mon démo, Sang blanc, fini, aussitôt il me tapait sur les nerfs. Je pense que je n’étais seulement pas prêt.»
Jipé Dalpé — telle est sa nouvelle marque enregistrée — n’a pas toujours non plus été dans les bonnes grâces de Dame Chance: il a franchi deuxième le fil d’arrivée des concours de Petite-Vallée et Granby, a trouvé une première compagnie de disques avant d’apprendre qu’elle tombait en faillite...
C’est à trente ans que le courtisan aura été récompensé pour sa patience.
Cette semaine marque la sortie du second extrait radio Tu peux pas, tiré de l’album Dubois Par chœur -1001 choristes. Dubois par chœur qui aurait pu s’appeler duo par Chœur, où il remplace les vedettes par des gens de tous les coins du Québec…demeure toujours au sommet des meilleurs vendeurs au Québec avec 30 000 copies.
Après avoir foudroyé les ondes avec leurs trois premières pièces Les jours de pluie, Lever l’ancre et Je pense à toi, Alfa Rococo présente un nouvel extrait radio, La fenêtre. Attendez-vous à ce que le duo poursuive sa lancée radiophonique avec ce percutant extrait.
Bravo à David et Justine pour leurs nominations au 30e gala de l'ADISQ dans les catégories "Album populaire de l'année", "Groupe de l'année", "Révélation de l'année" et "Chanson populaire de l'année" avec la pièce Lever l'ancre. Bonne chance!
Tout juste couronnée du deuxième disque d’or de sa carrière, Marie-Mai nous livre Avec elle, le nouvel extrait de l’album Dangereuse attraction. Une fois encore, la jeune artiste nous surprend avec ce titre qui tranche avec les extraits précédents. Pour Avec elle, Marie-Mai délaisse les rythmes pop et les sons électro. Il s’agit d’une ballade dont les accents ne sont pas sans rappeler certains slows de groupes hard rock. Sébastien Lacombe Superzéro
Le groupe SENS présente une nouvelle chanson Ma tempête tirée de leur premier album Dans un monde. Une chanson qui rappelle les sentiments puissants que la vie peut nous faire vivre mais que l'on peut toujours surmonter avec l'appui de nos amis.
Pour l'album Recollection sorti en 2008, Laurent Voulzy a enregistré une nouvelle version de sa chanson, baptisée Rockollection 008 et d'une durée de 15 minutes 43. Les chansons qui y apparaissent sont4 : • Da Doo Ron Ron : The Crystals • I Want to Hold Your Hand : The Beatles • Ticket to Ride : The Beatles • No Milk Today : Herman's Hermits • With a Girl like You : The Troggs • Oh, Pretty Woman : Roy Orbison • Paint It Black : The Rolling Stones • Ruby Tuesday : The Rolling Stones • Jumpin' Jack Flash : The Rolling Stones • Satisfaction : The Rolling Stones • Turn! Turn! Turn! : The Byrds • L'Amour avec toi : Michel Polnareff • Massachusetts : The Bee Gees • How Deep Is Your Love : The Bee Gees • Night Fever : The Bee Gees • More Than A Woman : The Bee Gees • Good Vibrations : The Beach Boys • Substitute : The Who • Penny Lane : The Beatles • Sunny Afternoon : The Kinks • California Dreamin' : The Mamas & The Papas Sur ce même album, la chanson Rockollection Scène 10, consiste en un nouveau couplet de Rockollection, suivi d'un extrait de Video Killed the Radio Star des Buggles. Avec L'Amour avec toi, c'est la première fois que Voulzy inclut une chanson en français dans son Rockollection. Rockollection est une chanson de Laurent Voulzy. Elle présente l'originalité de faire alterner des couplets en français, écrits par Alain Souchon et composés par Voulzy, avec des reprises de chansons anglo-saxonnes datant (dans la version originale) des années 1960. Le mot Rockollection est un mot-valise formé de rock et de collection. Ce titre a été préféré à celui de Recollection, choisi initialement1, un mot anglais qui qualifie l'action de se remémorer quelque chose. Il donnera d'ailleurs le titre de Recollection à son album de 2008 célébrant le trentième anniversaire de la chanson. Rockollection évoque la vie d'un adolescent dans les années 1960, avec quelques mots d'argot de l'époque : les thèmes abordés sont le lycée, les amours avec les filles en jupe plissée et queue de cheval, les scooters, le certif' (qui rime avec les tifs qu'on ne veut pas se faire couper de peur d'avoir « la boule à zéro »), les vacances en camping (à Saint-Malo « avec des parents en maillot qui dansent sur Luis Mariano »), le job d'été qui aurait permis l'achat de la guitare, le retour dans la banlieue, le baby, les disquaires (d'où l'on ressort « avec un single des Stones caché sous ses fringues »), ou encore le rêve américain. Dans l'ultime couplet, on comprend clairement que le narrateur a mûri depuis cette époque dont il est nostalgique ; il lui reste finalement le souvenir des chanteurs à la radio qui ont marqué cette période de sa vie (« des trucs qui lui collent encore au cœur et au corps »).
Après le succès en radio cet été de son morceau "Love Song", le chanteuse Sara Bareilles propose actuellement le second extrait de son album, "Bottle It Up" : découvrez le clip. "Love Song", son single estival, a été l'une des ritournelles de l'été. Personne n'est resté insensible à la voix jazzy de son interprète et aux mélodies pop de l'univers de Sara Bareilles.«Mon album "Little Voice" réunit diverses chansons qui représentent à peu près tout pour moi. Elles évoquent ma vie, mes relations amoureuses, mes “pétages de plomb” et sont le reflet de mon désir profond d'écrire des choses sincères afin de les partager» déclare la chanteuse de 29 ans.Cette dernière en dévoile à présent un nouvel extrait, "Bottle It Up".
Colbie Caillat est née le 28 mai 1985 à Newbury Park, en Californie. Elle passe son enfance à Malibu où elle est bercée par des musiques ensoleillées composées par des maîtres de la soul comme Marvin Gaye ou Stewie Wonder ou du reggae tel que Bob Marley. Son père Ken Caillat est un ingénieur du son réputé de Californie. Au détour de ses soirées à la maison, elle rencontre notamment Fleetwood Mac dont son père co-produit les albums (Rumours et Tusk). A l'âge de 11 ans, en 1996, l'ado fond littéralement en entendant la reprise de Lauryn Hill (groupe Fugges) de Killing Me Softly. Dès lors, malgré son jeune âge, la jeune Colbie Caillat s'entête : elle sera elle aussi une artiste ! Elle apprend consciencieusement le piano avant de poser ses premières rimes. Elle commence aussi les cours de chant avec le soutien de ses parents. A 15 ans, Colbie rencontre le producteur Mikal Blue au détour d'un enregistrement. Le courant passe et ils décident de travailler ensemble sur des chansons qu'ils écrivent ensemble. A l'âge de 19 ans, elle se lance dans l'apprentissage de la guitare et compose son premier titre baptisé Bubbly. Elle le poste sur sa page Myspace et le succès est fulgurant. En quelques mois, 31 millions de téléchargements sont comptabilisés lui permettant ainsi de devenir la numéro 1 du classement des artistes non-signés dans son genre musical ! Cet immense succès attira immédiatement les Majors du disque qui lui proposèrent la production d'un album. Elle signa ainsi en 2006 avec Universal Republic Records aux Etats-Unis. De cette alliance naitra l'album solo « Coco » produit par Mikal Blue et co-écrit par l'auteur-compositeur-interprète Jason Reeves. Un succès incroyable Ce premier album sorti en juillet 2007 a été largement salué par la critique. Les titres sont un savant mélange de folk et de pop avec une influence marquée par le répertoire de Norah Jones, Sheryl Crow ou de Nelly Furtado. Cet album de 12 titres très pop/folk se distingue principalement par la voix chaude et envoûtante de Colbie Caillat mise en valeur par une guitare acoustique omniprésente. Les mélodies sont sucrées et entraînantes, idéales pour danser en chaloupant. Selon Colbie Caillat : « Une bonne chanson doit soulever votre cœur, vous chauffer l’âme et vous donner une sensation de bien-être ». L'album est telle une invitation au voyage, tout en légèreté et simplicité. Les textes sont romantiques. Ils parlent de la famille, de l'amour, de la vie. Dès sa sortie, l'album « Coco » s'est immédiatement classé dans le Top 5 du classement des albums dans le Billboard aux Etats-Unis. L'album est aujourd'hui certifié disque d'or outre-Atlantique (500 000 exemplaires vendus). Il a connu également un énorme succès en Allemagne et en Nouvelle Zélande avant de déferler en France en février 2008. Le Myspace de Colbie Caillat reste l'un des plus visités au monde ! Le saviez-vous ? Du 17 au 24 juillet 2007, le tube Bubbly a été présenté comme le « single de la semaine » sur le site de vente de musique en ligne iTunes Store en accompagnement de la sortie de l'album « Coco ».
Après les vacances c’est « TRISTESSE » Après le méga succès de Pleine lune, Marie-Luce Béland propose un nouvel extrait de son disque À l’envers La tristesse peut se traduire par une lettre d’amour sans je t’aime ou par une chanson vide d’émotion. Quelques mots qui seront fredonnés à l’écoute du nouvel extrait radio de Marie-Luce Béland, TRISTESSE. D’une sensibilité émouvante, Marie-Luce Béland est loin de se faire muette à l’interprétation de la chanson TRISTESSE,
L’auteur, Steve Veilleux était loin d’une panne sèche à l’écriture d’un texte, accompagné d’une musique sur mesure, pour l’interpète qu’il a choisie pour amener ses chansons au sommet des palmarès. TRISTESSE c’est une touche de douceur livrée par une voix puissante et électrisante. Une maturité vocale laissant même un frisson au passage.
Ce deuxième extrait, Feed Your Soul, est une invitation à voir la vie du bon côté, à nourrir son âme de pensées positives. C'est aussi l'une des chansons les plus enlevantes de son répertoire, celle qui se mérite le plus de réactions à chaque fois que Pastel la joue en public.
Pour donner un avant-goût de ce 5e album, le groupe présente aujourd’hui un premier extrait, Le déni de l’évidence. Cette chanson, résolument engagée, met en lumière le fait que même devant la très inquiétante problématique des changements climatiques, citoyens et gouvernements tardent à réagir.
C’est la première escale d’un grand voyage. «Peine perdue», extrait initial de Cœurs migratoires, le nouvel album de Catherine Durand, nous fait renouer avec tout ce que l’on aime chez cette artiste: une voix qui vient de l’âme et s’adresse au cœur, une mélodie douce et accrocheuse, et un texte qui offre ses coups d’œil obliques sur le monde et ses petits drames
Sans trop faire de vagues, Catherine Durand s'est tranquillement imposée dans le paysage de la pop québécoise. Depuis une dizaine d'années, d'un disque à l'autre, la chanteuse et guitariste a tissé sa toile, sans nécessairement suivre le courant, prenant les chemins de campagne plutôt que les grandes voies urbaines.
En l'espace de quatre albums, dont le tout dernier Coeurs migratoires, celle qui vient de passer tout un été à animer une émission quotidienne sur les ondes de la radio d'État a peaufiné son style, sans jamais trop s'éloigner de la musique folk, qu'elle apprécie plus que tout. "Au départ, je ne devais faire que quelques semaines à Espace musique, et je me suis retrouvée à y passer tout mon été. Ça m'a appris plein de choses car on y fait jouer du jazz, du world, toutes sortes d'artistes que je ne connaissais pas et que j'ai découverts. Ça va sans doute m'aider à ouvrir mes horizons musicaux car je suis pas mal dans le folk et le country. Grâce à ce contrat d'animation, je me suis rendu compte qu'il y a plein d'autres styles de musique que j'aime, comme la musique africaine, par exemple. Y a pas à dire, ce fut un été très musical. Ça a fait bouger mes antennes!" avoue l'auteure-compositrice, un sourire dans la voix.
Heureusement pour Catherine, son "job d'été" à Radio-Canada n'a pas nui à la création de son quatrième album, Coeurs migratoires, un disque introspectif, personnel. "Cet album porte bien son titre car dans la plupart des chansons, il est question du coeur et de ses blessures, du coeur qui s'éloigne mais qui aussi peut revenir malgré les peines, affirme la musicienne. Ce disque, je l'ai écrit sur une période de deux ans et demi environ. Il s'est passé pas mal de choses entre la parution de Diaporama en 2005 et celle de Coeurs migratoires; des choses dans ma vie sentimentale, mais aussi dans ma vie professionnelle. À ce sujet, il y a surtout eu la tournée Toutes les filles (quatre auteures-compositrices-interprètes, et pas toujours les mêmes, réunies sur une scène et qui présentent quatre chansons de leur répertoire, accompagnées par les autres). Je t'avoue que ça m'a beaucoup influencée et nourrie de collaborer avec ces différentes artistes. Ça m'a déniaisée comme musicienne. C'est pourquoi j'ai demandé à Marie-Annick Lépine et Catherine Major, avec qui j'ai partagé la scène lors de cette tournée, de jouer sur le disque."
Il n'y a pas que ces deux invitées sur Coeurs migratoires; outre Jocelyn Tellier (guitariste de Dumas, Hello Postier...) à la réalisation, on retrouve entre autres Mélanie Auclair au violoncelle, Dan Thouin aux claviers, Olivier Langevin à la guitare et Joe Grass au Dobro et à la mandoline. "Y a deux côtés de moi dont je ne peux me défaire en musique: mon côté folk et mon côté planant, précise Catherine. Sur ce disque, on retrouve les deux. J'ai donc choisi des musiciens en conséquence. Y a des chansons qui sont très folk avec une instrumentation typique comme le Dobro, le banjo, la pedal steel, et de l'autre côté, c'est plus planant avec une orchestration plus riche. Y a des cors français et anglais, du hautbois, des cordes... Je me suis beaucoup impliquée à ce niveau-là. C'est moi qui ai fait tous les arrangements. Et je crois que c'est à la suite de l'expérience de la tournée Toutes les filles que je me suis dit que j'étais capable de le faire. Au final, je pense que nous avons réussi à bien doser les deux côtés et, en même temps, à alléger l'ensemble car il est vrai que les textes sont un peu lourds. En fait, Coeurs migratoires est comme la suite logique de Diaporama. C'est moi, c'est mon style. Un jour, peut-être que je ferai un album heavy métal, qui sait!"
