Après l’immense succès de DON JUAN, Félix Gray revient à Montréal avec une nouvelle comédie musicale -SHERAZADE, LES MILLE ET UNE NUITS, qui sera présentée à l’Olympia dès mars 2009. L’album qui contiendra les chansons originales du spectacle sera disponible dès l’automne 2008. En attendant voici Ce qui ne nous tue pas le premier extrait.
Dès le 18 août prochain, vous pourrez entendre sur les ondes radiophoniques le nouvel extrait de David Jalbert intitulé Souvenirs d’enfance. Cette chanson raconte avec simplicité et véracité les sentiments vécus d’un premier amour, mais surtout les joies des journées de plein air où l’amitié est reine et plus forte que tout.
Il s’agit d’un hymne aux souvenirs d’enfance qui restent imprégnés dans notre mémoire, que ce soit les fous rires d’une balade en traîneau, d’une cachette dans une cabane ou d’une veillée à la patinoire.
L’auteur-compositeur nous transporte une fois de plus dans son univers folk. Sa douce voix rauque et empreinte de chaleur exprime bien cette mélancolie face à ces moments éteints, mais qui demeurent et nous suivent dans notre parcours personnel. Souvenirs d’enfance est pour toutes ses ex qu’on oublie, pour tous ceux à qui on n’a pas dit au revoir, qui un jour s’amènent dans ta vie avec les réponses du hasard comme le chante si bien David Jalbert.
Il nous raconte son histoire, notre histoire. Un rendez-vous musical à ne pas manquer !! http://www.davidjalbert.ca/
Un nouvel extrait de l’album éponyme d’Alexandre Poulin, la chanson « La prière », fait son entrée sur les ondes radiophoniques cette semaine. Après avoir rapidement séduit le public avec son premier extrait, « Un bout de temps », l’auteur-compositeur-interprète est de retour avec un nouvel extrait qui touche droit au cœur. Cette charmante et douce histoire d’amour démontre la vive passion de son auteur pour les mots.
Ce serait le plus grand honneur Que pourrait me faire la vie Que d’mélanger mes couleurs Avec les tiennes, ma douce Marie
Après avoir foulé les planches de la grande scène extérieure des Francofolies de Montréal cet été, Alexandre Poulin offrira son spectacle au Vieux Clocher de Sherbrooke, le vendredi 24 octobre, à 20 h 30. Il s’agira de belles retrouvailles puisque c’est sur cette même scène qu’Alexandre Poulin a présenté son premier spectacle solo en 1999. On dit d’Alexandre Poulin qu'il est un conteur de chansons et un chanteur d'histoires et c'est à l’écoute de son album que cette expression prend tout son sens.
Alexandre Désilets a une de ces voix rares, réunissant audace, grâce et sensibilité. D’aussi loin qu’il puisse se souvenir, Alexandre a toujours chanté. En famille, dans la chorale de son quartier et, sans arrêt, dans sa tête. Il nourrit une obsession naturelle pour la musique qui se transforme, à l’adolescence, en désir de jouer de tous les instruments. Il s’intéresse à la batterie, à la guitare et à la clarinette sans parvenir à s’y consacrer réellement; il s’applique plutôt à décortiquer le jeu et les sonorités de chacun de ceux-ci et les intègre à son chant, qu’il conçoit de plus en plus comme son véritable instrument. Après un détour par les sciences de l’agriculture à l’Université Laval, Alexandre aboutit en 1998 en musique électro-acoustique à Concordia. Il se lance alors dans une exploration tous azimuts du traitement électronique de la voix. On l’entend dès 1999 sur Interior Horizon avec Adham Shaikh, puis sur Vegetation = Fuelet Solar Powerde Freeworm. En 2005, Alexandre prend part à l’aventure funami aux côtés du Luso-Canadien Tiago Conceição. Grâce àses chansons bidouillées exclusivement d’échantillons de sa voix, l’album Vocophilia mène le duo soul-électro anglophone au Portugal, où il connaît un succès critique et populaire. Quelques chansons se retrouvent aussi dans la série documentaire Cirque du Soleil Fire Within. En 2006, Alexandre rentre au pays pour tenter l’aventure solo en français. Il apprécie cette intimité toute naturelle qui se crée avec l’écriture francophone. J’échoue, sa première composition dans sa langue maternelle, gagne d’ailleurs le prix Meilleure chanson à Ma Première Place des Arts. Alexandre remporte peu de temps après le prix Meilleure interprétation à Petite-Vallée, puis arrive la grande finale du Festival International de la chanson de Granby, qui le consacre en lui décernant les honneurs de son édition 2006. Fort de ces succès, Alexandre entame à l’automne 2007 la production de son premier album, Escalader l’ivresse, sous la gouverne du réalisateur-arrangeur Jean Massicotte (Pierre Lapointe, Patrick Watson, Arthur H, Lhasa, Jean Leloup) et de son producteur complice Denis Wolff. Ils font ensemble le pari d’une pop réinventée en se jouant des structures conventionnelles. Des pièces plus longues et des sonorités modernes au service des mélodies accrocheuses d'Alexandre. Pour ce faire, le trio s’entourent de musiciens novateurs : Serge Nakauchi Pelletier (Pawa Up First) aux arrangements, guitares et basses; Robbie Kuster (Patrick Watson), Jean-Phi Goncalves (Plaster, Afrodizz, Beast) et Joseph Perrault (Pawa Up First) à la batterie; Jérôme Hébert à la guitare acoustique (funami); en plus de l’incroyable travail de Massicotte aux claviers et à la programmation. On assiste alors à la fusion en apesanteur de pop séduisante, d’électronique et de post-rock galvanisés de hooks. La voix planante, chargée de soul d'Alexandre, alliée à des textes sensibles, teintés de touches impressionnistes, fait écho à des mélodies finement ciselées et inattendues. Au final, un album hors norme dans l’univers de la musique francophone, audacieux et intemporel. J’échoue, une balade pop et rythmée, aux accents alternatifs. Accessible et séduisante avec ses mélodies émouvantes et accrocheuses; authentique et surprenante avec ses sonorités modernes et ses mélanges de styles puissants, J’échoue s’avère dangereusement efficace.
Alors que son dernier single, Warwick Avenue, tourne sur toutes les radios, Duffy fait parler d’elle dans l’univers de la beauté. La chanteuse galloise a en effet décroché un contrat pour être le nouveau visage de Nivea aux Etats-Unis. Cette campagne a lieu dans le cadre de la promotion de la soirée Fashion Rocks prévue pour septembre, à New York. Une grande première pour la jeune femme de 24 ans qui, on l’espère, ne s’arrêtera pas là !
Duffy continue de susciter les convoitises et bon nombre d'artistes aimeraient former un duo un jour avec elle. Cette fois-ci, c'est au tour de Tom Jones de tenter sa chance auprès de la jeune galloise pour les besoins de son prochain album de duos. Elle serait ainsi au sommet de sa liste d'artistes avec qui il aimerait collaborer. "Parce qu'elle est galloise comme moi et car elle chante divinement bien. J'aimerais faire un morceau avec elle, elle a vraiment quelque chose de spécial", a-t-il indiqué à la presse anglophone. En attendant une réponse à cette proposition, elle continue sa tournée américaine dans le cadre de la sortie de son premier album, Rockferry
Welsh recording artist Jem will release her sophomore album, Down To Earth, on September 16 on ATO Records. The follow-up to her acclaimed 2004 debut, Down To Earth is a collection of twelve infectious new songs that feature Jem's ethereal vocals, hip-shaking beats, bright melodies and introspective lyrics. "It's Amazing," the first single off the album, is featured on the original soundtrack to the highly anticipated feature film version of the beloved HBO television series Sex And The City.
Jem co-wrote Down To Earth with cohorts old and new including hip-hop producer Jeff Bass, one of the two brothers credited with discovering Eminem, and producer Lester Mendez (Shakira, Santana and Nelly Furtado). The album reflects the singer/songwriters far-ranging influences including Brazilian percussion on the title track, Detroit Gospel choirs, a Stevie Wonder inspired 'Crazy' complete with funky banjo, and the tempestuous Latin-flavored track "I Want You To..." a collaboration originally earmarked for a solo album by turntable whiz Cut Chemist (Ozomatli, Jurassic 5).
On the blistering dance-pop tune "Aciiid!" Jem worked with Greg Kurstin (Kylie Minogue, Lily Allen, The Bird And The Bee) and sings in Japanese, where she enlisted the help of two Japanese-American music fans to tutor her in the phonetic pronunciation. The album also includes a moving collaboration with South African singer-songwriter and poet-activist Vusi Mahlasela on the track "You Will Make It" recalling 9/11, and dealing with the suffering of loss.
Taste-maker Nic Harcourt, Music Director of KCRW 89.9 FM Los Angeles, was one of her earliest supporters and thanks to exposure via TV shows including The O.C., Grey's Anatomy, Desperate Housewives, CSI Miami, and Six Feet Under, literally millions of listeners worldwide have heard her music.
Il y a tout juste trois mois, le trio The Lost Fingers est inconnu du public, il tremble à l’idée d’assurer la première partie du Pascale Picard Band au Club Soda et se demande si Pump up the jam plaira aux radios. Aujourd’hui, le « single » est #1 sur la majorité des stations du Québec, les spectacles se succèdent devant des foules toujours grandissantes et Lost in the 80’s - Disque D’or en six semaines - continue de dominer les ventes au Québec et au Canada chaque semaine. Comme Django Reinhardt, The Lost Fingers a le succès au bout des doigts.
En 2006, Christian Roberge (guitare/voix) et Byron « Maiden » Mikaloff (guitare/voix) entendent Samantha Fox interpréter Touch Me à la radio. Christian prend sa guitare et lui donne une saveur manouche. L’idée de reprendre des succès des années 80 vient de germer et Alex Morissette (contrebasse/voix) se joint instantanément au projet.
Pour continuer de fêter le jazz manouche et les années 80, The Lost Fingers propose maintenant un 2e extrait : Touch Me. Tout juste revenu de St-Malo en France, dans le cadre du 400e de Québec, le groupe poursuit sur sa lancée avec la présentation de sa tournée de spectacles au Québec (voir www.tandem.mu ou www.myspace/thelostfingers ). Des performances à ne pas manquer, avant que la popularité de la formation ne l’entraîne hors de nos frontières….
